Cette fois, c'est sûr, la crise ne semble plus être qu'un mauvais souvenir. Sur quasiment tous les stands du 81e Salon de l'automobile de Genève, la tendance, déjà amorcée de manière timide l'an passé, est aux lignes sensuelles, portées par des couleurs inédites. Les teintes mates sont légion, à l'instar de ce «fraise écrasée» qui orne le concept Alfa 4C, et les décors carbone ne sont plus réservés aux seules «supercars».
Qu'elles soient sportives ou qu'elles en aient seulement l'air, les voitures présentées cette année s'affichent fièrement aux côtés de SUV tous plus craquants les uns que les autres. Peut-être parce que ces modèles et prototypes ont, pour la plupart, des arguments «verts» à faire valoir: hybrides, électriques ou simplement plus économes.
Maintenant que la plupart des constructeurs mondiaux sont sur la voie de l'écologie, ils recommencent à créer des voitures qui savent aussi séduire par leur ligne.
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