
Dans une diatribe courte mais efficace, le chroniqueur a pointé les contradictions de ce «bouffon donneur de leçons» en indiquant qu’il était bien beau de secouer les politiques pour qu’ils luttent contre la pauvreté dans le monde.
Mais «on aimerait que le leader du groupe irlandais soit aussi sourcilleux sur la moralité des nombreuses entreprises qui financent jusqu’au trognon ses tournées rock planétaire (…) on aimerait aussi que Bono n’ait pas délocalisé ses activités d’Irlande aux Pays-Bas où les royalties sont largement défiscalisées…». Et le chroniqueur de conclure «Ferme ta gueule Bono»
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