L'incidence globale «plus élevée» que celle publiée (sur la base des registres régionaux) pour la période 1990-1999, notamment pour les cancers du système nerveux central, s'explique probablement par une amélioration de la méthodologie et par l'amélioration des techniques diagnostiques, «bien qu'on ne puisse écarter formellement une réelle augmentation d'incidence», indique le BEH.
L'essentiel Online/AFP
Authors: L'essentiel