A peine arrivé au Palexpo où se tenait le 81e Salon international de l’automobile de Genève, Vincent McDoom a attiré tous les regards. Accompagné d’un ami chanteur prénommé Babacar, de nombreux fans ont reconnu l’ex-candidat de la «Ferme Célébrités». «C’est dingue, je ne pensais pas que j’étais aussi célèbre ici. En tous cas, les Suisses sont très avenants», a confié Vincent.
Les trois bolides qui ont donné la chair de poule à notre invité
N° 1 - La Pagani Huayra, mot signifiant «Dieu des vents» pour les Argentins. «Le rouge est ma couleur de prédilection. Et son design est magnifique, on dirait de la haute couture. De plus, j'adore le côté mystique de son nom, parce que je suis aussi très spirituel», a confié l'artiste.
N° 2 - La Bentley Supersport ISR a aussi tapé dans l'œil de Vincent. Quel plaisir pour lui de s'y installer. «Elle est si confortable! C'est l'idéal pour se balader en ville. De plus, il y a beaucoup d'espace pour mettre des sacs quand je vais faire du shopping!».
N° 3 - La Lamborghini Aventador. Un choix avant-gardiste, ce modèle est présenté pour la première fois au public. «J'aime beaucoup son côté sportif. On doit avoir une vraie montée d'adrénaline quand on la conduit. Ça serait le cadeau idéal à faire à mon copain…».
Ebloui par les bolides exposés, Vincent a pu s’installer dans plusieurs d’entre eux, sous l’objectif des photographes. «Ces voitures sont magnifiques. Ce sont de vrais bijoux. J’en suis gaga! Je me sens comme Alice au Pays de merveilles», s’est-il exclamé les yeux remplis d’étoiles.
Et l’androgyne de 45 ans d’ajouter: «Je suis entouré de gens qui adorent les voitures de luxe. Mon père était mécanicien. Mes frères aussi. Et maintenant que j’ai vu ce salon, je comprends encore mieux leur passion.»
Du coup, même s’il n’a pas encore son permis, Vincent se serait bien vu repartir au volant d’une Pagani, d’une Bentley, ou d’une impressionnante Lamborghini. «Pour moi, les vraies découvertes, ce sont les voitures aux couleurs mates. C’est très à la mode. Et le design de certaines sont si futuristes!»
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