Invité sur Canal + lundi soir, l’ex-ministre français Luc Ferry a mis en cause un ancien collègue du gouvernement. «Les journalistes ne peuvent pas dire les choses qu'il savent (je pourrais vous en donner beaucoup d'exemples, que vous connaissez comme moi) parce qu'ils tombent sous le coup de la diffamation», a-t-il expliqué dans l’émission «Le Grand Journal», réagissant sur le machisme politique, suite aux affaires sexuelles de Georges Tron et de Dominique Strauss-Kahn qui ont ébranlé la classe politique.

«L'enfant est en état de mort cérébrale», a confirmé l'Assistance-publique-Hôpitaux de Marseille (AP-HM) dont dépend l'hôpital marseillais de la Timone où est hospitalisé l'enfant. «Il est encore maintenu artificiellement en vie dans le service de réanimation», a précisé l'AP-HM. Une source proche de l'enquête avait indiqué dans un premier temps que le circulateur artificiel qui le maintenait en vie malgré son état de mort cérébrale avait été débranché. Un point presse est prévu mercredi à 10h au palais de justice de Tarascon, a indiqué le procureur.

Laëtitia a été victime "d'une part de coups portés au visage, d'autre part de très nombreuses blessures par arme blanche sur tout le corps, ainsi que d'une strangulation qui a été très vraisemblablement à l'origine directe du décès", a déclaré mardi dans un communiqué le procureur de Nantes, Xavier Ronsin.

À Gand, deux petites explosions ont retenti quasiment en même temps. Deux réveils avaient été cachés sous des palettes avant d'être détruits à distance via un mécanisme de mise à feu. Les dégâts sont très limités mais deux personnes, un membre du personnel du magasin et un agent de sécurité, ont été légèrement blessées au niveau des oreilles par les détonations. Des faits similaires ont été constatés lundi dans deux autres sites d'Ikea, aux Pays-Bas et en France.

Ikea Belgique a parlé d'un «contrôle préventif» de la police qui ne devrait pas entraîner de fermeture des six magasins concernés. Sur le site du magasin Ikea de Gand, la fouille s'est déroulée avec l'aide de quatre chiens démineurs. Cette mesure a été décidée après des incidents survenus lundi dans plusieurs magasins de l'enseigne, à Gand en Belgique, Eindhoven aux Pays-Bas et près de Lille en France.

Il était aux alentours de 13h30 quand l’accident s’est produit. À hauteur du carrefour du Schlammsee, un automobiliste qui roulait sur la N3 dans le sens Frisange-Alzingen a percuté un autre véhicule qui circulait sur l'axe Roeser-Weiler-la–Tour.

Une des voitures a été projetée contre deux autres véhicules qui étaient arrêtés au carrefour. Les quatre conducteurs et une passagère ont été blessés et transportés à l’hôpital.

(L'essentiel Online)

Mahmoud Abdel Salam Omar, l'ancien directeur de la Banque d'Alexandrie, aujourd'hui à la tête de la compagnie El-Mex Salines, est accusé d'avoir fait monter une employée de l'hôtel de luxe Pierre, «une femme, noire, âgée de 44 ans, dans sa chambre au 10^e étage, dimanche soir, pour y déposer du papier toilette, avant de l'agresser», a indiqué un porte-parole de la police.

C'est dans l'hôtel de luxe «Pierre», situé sur la Fifth Avenue, que l'agression de la femme de chambre aurait eu lieu.

«Nous avons eu un problème d'aiguillage, mais il est désormais résolu, affirme le service de communication des CFL, contacté mardi matin par L'essentiel Online. Mais la conséquence de cette panne, c'est que nous avons un embouteillage en gare de Bettembourg qui va se traduire par des retards sur tous les trains entre Thionville et Luxembourg, ainsi qu'entre Bettembourg et Esch. Un train a même dû être supprimé.» Aucune information sur les retards de l'ensemble de trains n'a été communiquée.

«Roustam Rouslanovitch, l'aîné des frères Makhmoudov, a été arrêté la nuit dernière (de lundi à mardi) à Atchkhoi-Martan (à l'Ouest de Grozny, la capitale de la Tchétchénie) au domicile de ses parents, m'ont-ils dit», a déclaré mardi Saïdakhmet Arsamerzaïev, l'avocat de son frère et complice présumé, Ibraguim Makhmoudov.

Les frères de Roustam Rouslanovitch, Ibraguim et Djabraïl, sont toujours considérés par les enquêteurs comme ses complices, bien qu'ils aient été acquittés faute de preuve en 2009.

Les quatre enfants de Xavier Dupont de Ligonnès ont été drogués avant d'être assassinés, a révélé lundi le procureur de la République de Nantes, Xavier Ronsin, sur la base d'expertises toxicologiques.