Le jeune homme paie maintenant les frais de sa médiatisation. Il touche le RSA (revenu de solidarité mensuel) de 404 euros et s’est vu refuser des emplois lorsque ses potentiels employeurs l’ont vu arriver dans leurs bureaux. Son but est de «continuer dans le milieu artistique». Et cela va commencer par un livre dans lequel il reviendra sur l’affaire Zahia qui l’a conduit pendant six semaines en prison. «J’ai le projet de faire un bouquin à ce sujet», a-t-il révélé dans l’émission de radio «Le réveil malin».
Au sujet de Zahia, Abou n’a pas le droit de communiquer avec elle jusqu’à ce que l’enquête soit bouclée, mais espère qu’ils se reverront plus tard: «C’était mon amie. Une fois que l’affaire sera jugée j’espère qu’on restera en contact. C’était une petite sœur pour moi. On sortait souvent ensemble.»
Abou Sofiane a également été interviewé dans l'émission «Ma vie à la télé», sur la chaîne de la TNT NT1. Il y évoque également ses problèmes d'embauche et précise que même lorsqu'il s'approche d'une fille, il est considéré comme un proxénète.
(L'essentiel online/fab)
Authors: L'essentiel